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    Il faut se battre pour l'indépendance, la paix et la liberté

    Les impérialistes utilisent les valeurs culturelles, scientifiques, techniques, économiques, littéraires et morales pour justifier et maintenir leurs régimes d'exploitation et d'oppression. Les peuples opprimés, d'autre part, utilisent des valeurs culturelles autres et de nature contraire à celles des impérialistes afin de mieux combattre l’impérialisme et d'échapper au régime colonial.<o:p></o:p>

    Le projet de Constitution ne doit pas s'enfermer dans la logique du régime colonial qui a fait juridiquement de nous des citoyens français, et de nos Territoires, une partie intégrante de la République française Une et Indivisible. Nous sommes africains et nos Territoires ne sauraient être une partie de la France. Nous serons citoyens de nos États africains, membres de la Communauté franco-africaine”.<o:p></o:p>

    Nous avons, quant à nous, un premier et indispensable besoin, celui de notre Dignité. Or, il n'y a pas de Dignité sans Liberté, car tout assujettissement, toute contrainte imposée et subie dégrade celui sur qui elle pèse, lui retire une part de sa qualité d'Homme et en fait arbitrairement un être inférieur. Nous préférons la Pauvreté dans la Liberté à la Richesse dans l'esclavage“.<o:p></o:p>


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  • LES DUPES, L’ARGENT & LE CHACAL                                                                                                                                        

    Les dupes, l’argent et le chacal. Au Tchad d’Idriss Déby, les bonnes nouvelles sont suffisamment rares pour être appréciées à leur juste valeur. Pourtant, si l’avarice est mise au nombre des pêchés capitaux, la stupidité en est omise.

    L’étrange syndrome des postes et argent malsain gagne sans équivoque une certaine opposition. Fondamentalement, tous les idéaux exprimés jusqu’ici en terme de changement, de reconstruction politique, économique et sociale se trouvent banni pour des ambitions qui n’honorent pas les acteurs des accords raccommodés, qui ont un seul but : leur personne. Le Tchad et son peuple après.

    Nous avons dit, et ne cessons de dire que le pouvoir actuel au Tchad est stérile. Dix-sept ans d’existence noire de bilan. C’est dans le renouveau et le changement des hommes et des structures que l’espoir renaîtra. Alors… Que dire d’une certaine opposition gesticulant aux prémices de dés. Des hommes dansant une farandole cocue oubliant de facto l’unité de genre et bafouant la dynamique faite de l’union sacrée. Ibn Oumar Mahamat Saleh est ainsi sacrifié, assassiné une deuxième fois… L’argent du chacal intéresse autant de dupes qui ne pensent qu’à leurs dards mais a-t-on pensé aux nombres d’accords non respectés, les promesses non ténues. La menace la plus importante repose sur l’isolation des revendications politiques et politico militaire. La semi ouverture faite par Idriss Déby à une opposition voulue et choisi par lui, ne vise qu’à esseuler et delegitimiser une autre frange d’opposants qui lui posent une réelle équation. Les revendications des mouvements de résistance nationale sont claires et plus que potables si Idriss Déby veut construire et éviter un affrontement.

    Certains membres de la CPDC constituent une masse de foutre qui ne pensent qu’à flirter avec un chacal sauvagement conquit de ses proies, et dont l’appât est tenace. Tout ce monde qui ne rêve que de la mangeoire sait à l’avance qu’il n’y aurait aucune convenance, et que tout est fait pour faire valoir à l’opinion internationale une nature de démocratie. En contribuant à établir un faux de procédure, on se rend complice d’un dilemme qui aura ses conséquences plus tard.

    De l’ouverture d’un forum national, aux flirts de N’djaména, le risque prit risque de dénaturer la synergie de l’espoir. Un espoir fait de changement, de ne point accepter la main mise sur l’état par une calamité mafieuse. Le rêve d’un espoir délivrant l’amour du citoyen, l’amour de l’autre. Un espoir de paix, de justice et de développement. Les ratés de vision ne feront que compliquer l’existence d’un étau face à un pouvoir abject. La conscience doit prévaloir sur les choix mercantiles, dès lors qu’il s’agit d’une abjuration et d’une lâcheté ou pire d’un camouflage indigne. L’actualité au Tchad a démontrée que les félons récidives perpétuellement. On prend les mêmes et on recommence avec le même cycle stérile du manquement et du surplace.

    Rien ne viendra rassurer l’homme tchadien. Je parle de millier de tchadiens comme moi qui aspire à autre chose, du vent… de l’air, que les rapaces et les phacochères. Il sera loin le temps de la vie où l’ego se dilue dans l’espoir et resurgit dans l’affection. Le raccommodage n’a jamais ténu un pan rapiécé.

    MAHAMAT ASSILECK HALATA, in Tchadvision, 28.04.08


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  • ¡Viva la Revolución!

     

    Mais où est donc Ornicar, enfin le « général »?         
    (Alwihda 05/05/2008)       

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    Après un peu plus de deux mois d'absence, Koulamallah Abdelaziz ressurgit de nulle part, non, du no man's land avec une kalachnikov à la main pour, dit-il, dire ce qu'il pense bon à dire face à ce qu'il qualifie d'« inadmissible ».      

    S'étant auto proclamé « général » quelques mois plus tôt, il ne lui a semblé ni compatible avec la situation qui était la sienne ni facile de pouvoir arborer à volonté ce galon qui se mérite par la prouesse qu'un soldat aura à réaliser sur des théâtres d'opérations. Afin de légaliser, voire légitimer ce statut de « général » si difficile à justifier, il a dû s'être embarqué jusque sur le terrain levantin et prendre part à un « combat » de quelques heures.

    Monsieur Koulamallah, plutôt le « général » Abdelaziz comme il se plait à se faire appeler ainsi, se vante fort bien d'avoir pris part au combat d'Adé du 1er avril qui s'est soldé pourtant par la débandade des assaillants. « Il ne s'agit pas d'une défaite puisque la ville d'Adé était tenue par les Toroboros… » Laisse-t-il entendre à qui veut l'écouter. Abdelaziz Koulamallah se confie à Tchad Info (Alwihda). A suivre prochainement.

    Kébir


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